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  • Photo du rédacteurNaiya

Notre ADN Pléiadienne


Lorsque les Pléiadiens sont venus sur la Terre pour la première fois, il y a approximativement 200 000 ans, l’humanité y formait un groupe comme toutes les autres espèces en évolution. Le mammifère humain possédait une variété de formes. Comme chez les autres mammifères d’aujourd’hui, la variété assurait la survie. Il y avait 26 types d’humains, mais il n’en restait plus que 17 (résultat du processus d’évolutif normal) quand les Pléiadiens sont arrivés ici. Pour ensemencer la planète, ils devaient modifier l’ADN humain pour y introduire le complément spirituel qui leur était propre. Il fallait que l’humanité finisse par ne comporter qu’un seul type d’humain, celui qui existe aujourd’hui, et que cette espèce possède aussi « l’ADN du cosmos ».


Ce type d’humain diffère de tous les autres mammifères terrestres, que vous l’ayez remarqué ou non. C’est ce que vous êtes aujourd’hui. Vous êtes donc le produit d’une évolution unique. En vous donnant une partie de leur ADN, les Pléiadiens ont créé un humain de 23 chromosomes, tandis que les mammifères classiques en possèdent 24. Au cours du processus, plusieurs choses se sont produites simultanément.


Quand un agriculteur veut cultiver du maïs, il ne voit pas les choses de la même façon que l’individu qui va le manger. Le consommateur demanderait ceci : « A quel moment le maïs sera-t-il prêt à déguster » ? On lui répondrait alors : « Quand les épis seront à maturité. Alors, on les récoltera, on les fera cuire e ton les servira sur la table ». Voilà ce que serait l’histoire du maïs pour le consommateur. Elles commencent à la récolte des épis mûrs. Cette histoire est différente pour l’agriculteur. Ce dernier se mettra à observer le champ qu’il doit d’abord labourer et fertiliser, et don t il doit peut-être retourner la terre quelques fois pour qu’elle contienne suffisamment d’azote. Peut-être qu’il plantera les graines et qu’il remettra les semis dans le sol après leur éclosion. Voilà quelle serait l’histoire du maïs pour l’agriculteur.


Il y a donc au moins deux questions et deux scénarios. A quel moment commence le maïs ? Le consommateur donne une réponse et l’agriculteur en fournit une autre. Quelle est la bonne ? Tout dépend de qui pose la question : le consommateur ou le producteur ? Voici maintenant une troisième question : quel est le concepteur (créateur) du maïs ? Qui a fait le maïs ? Quand ?


Historiquement, cette « création d’un seul type d’humain » a également déclenché le moteur ésotérique de la vie spirituelle sur cette planète. Vous pouvez mesurer l’énergie de l’âme, l’énergie quantique de la spiritualité liée à Gaia. C’est là le travail que vous effectuerez aujourd’hui en tentant de retracer l’histoire de la spiritualité et la motivation du créateur de ce système. La conscience humaine est de l’énergie quantique et elle est la somme de toutes les âmes.


Transportons-nous maintenant 90 000 ans en arrière. L’être humain possède 23 chromosomes, ceux des Sept Sœurs. Il a fallu 50 000 ans de plus pour que cet humain se développe et devienne un être sensible et quantique pouvant créer une civilisation sans modèle organisationnel antérieur. Pour ce faire, il faut des générations d’essais et d’erreur, même si cela vous semble normal aujourd’hui. Tout cuisinier sait qu’il faut du temps pour cuire un mets de qualité. sans recette ni formation, combien de temps faudrait-il à un humain ne connaissant rien à la cuisine ni aux ingrédients alimentaires pour créer un vrai repas de gourmet de sept plats rien qu’en faisant des essais et des erreurs ? C’est la même chose. Au début de l’humanité, l’évolution n’était pas aussi rapide qu’aujourd’hui car on apprenait à peine à faire fonctionner ensemble un groupe d’humains.


C’est ainsi que s’acquiert la sagesse et le temps constitue le four où cuit le mets de la connaissance. La conscience mise en place par les Pléiadiens dans un humain à 23 chromosomes a créé le développement, de sorte que chaque génération est devenue plus sage que la précédente. Finalement, bien après la disparition de la Lémurie, l’ADN humain a acquis l’efficacité qui’l possède aujourd’hui : la divinité humaine est reconnue presque à la naissance, et plus de 80 % d’une population de quasiment sept millions d’individus [la civilisation actuelle] croient au même Dieu et même à la vie après la mort.


Très chers, un éveil se produit à l’heure actuelle sur cette planète chez vos frères et sœurs qui ont gravi et dévalé ces collines autrefois. Plusieurs des vieilles âmes d’aujourd’hui ont vécu ici et se trouvent à présent partout sur la planète.


Un groupe spécial de Lémuriens pouvaient utiliser régulièrement le Temple de la Régénération (au sommet de la montagne). Leur vie en fut longuement prolongée. J’an parle depuis des années. Ils étaient la royauté et les « gardiens des secrets ». Ils vivaient jusqu’à trois fois plus longtemps que les autres Lémuriens, mais il le fallait car ce sont eux qui possédaient le savoir originel. C’était une façon de préserver la tradition et la pureté de l’information.


Mon partenaire Lee Carroll est passé plusieurs fois par le Temple de la Régénération, d’où son association avec Yawee (le docteur Todd ovokaitys). A titre de messager, il transportait l’information sacrée – les secrets – entre les temples. Les Lémuriens d’alors ne ovulaient pas révéler ces secrets à beaucoup de gens. Par conséquent, mon partenaire a vécu très longtemps. Il a continué à se régénérer dan les temples aussi souvent que ceux qui formaient la royauté. Ce messager a passé plusieurs existences ici et il avait toujours froid. Aujourd’hui pour la première fois, j’ai dit à mon partenaire pourquoi il revient toujours ici, pourquoi il est si attaché à ce pays… et pourquoi l n’aime pas le froid.


Gaîa et les grilles de conscience de cette planète ont été créées en même temps que vous, par la même énergie et depuis la même source.


Si vous avez lu comme moi tous les livres de Kryeon, que vous pourrez d’ailleurs trouver ici, sur mon autre blog : http://bibliothequecder.unblog.fr/search/KRYEON vous vous souvenez sans doute que Lee Carroll s’était réjoui en voyant la page couverture de l’édition de de janvier 2000 du magazine Scientific American. Il l’a même incluse dans son tome VI, Franchir le seuil du millénaire (Editions Ariane). Pourquoi cette joie ? Je pense que le titre était plutôt éloquent :


« Nous n’étions pas seuls. Notre espèce a eu au moins 15 cousins.

Il ne reste que nous. Pourquoi ?


Canalisation de Kyeon à Hawaïï : « La chronologie de la création » Onzième croisière de Kryeon.

Retranscrit par Francesca du Blog : http://channelconscience.unblog.fr/

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